Le blog est actuellement en jachère, son auteur s'attelant à produire lui-même un produit critiquable.
Néanmoins vous pouvez toujours suivre mes aventures cinématographiques sur Twitter @vuaucinema ou vous promener parmi les 200 critiques déjà présentes sur le site.

critiques les plus consultées

Affichage des articles dont le libellé est Zohar Strauss. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Zohar Strauss. Afficher tous les articles

Lebanon

1982, les troupes israéliennes pénètrent au Liban. Un champ de tournesols, le silence. Puis les couinements d’un char d’assaut, à l’intérieur duquel quatre militaires vont connaître les joies de la guerre.

Le réalisateur m’invite dans son tank, me promène entre l’austère habitacle, rempli de tensions et les combats qui éclatent au dehors, qu’il me laisse voir uniquement à travers le viseur du canonnier. Loin de m’embarquer, le procédé me fatigue vite. Les bruitages qui accompagnent chaque mouvement de caméra me deviennent plus insupportables que l’extrême violence des images. Et devant le lion d’or qui rugit, je gis.

De : Samuel Maoz 1h31

Avec (entre autres) : Yoav Donat, Oshri Cohen, Itay Tiran, Zohar Strauss

Tu n'aimeras point [Einaym Pkuhot]

À Jérusalem, Aaron rouvre la boucherie kasher héritée de son père. Quand Ezri, bel étudiant, franchit la porte de sa boutique, Aaron se demande si la kippa du jeune hommes ne l'attire pas davantage que le foulard de son épouse.

L’histoire d’amour semble inéluctable dès le premier instant, et son issue forcément tragique puisque la communauté juive orthodoxe à laquelle les personnages appartiennent n’accepte pas l’homosexualité. Le film offre un regard rare sur des habitants de la ville ceinte peu montrés au cinéma et les yeux des acteurs brillent de passion. Mais tout cela ne me sauve d’un incommensurable ennui.

De : Haim Tabakman 1h30

Avec (entre autres) : Zohar Strauss, Ran Danker, Ravit Rozen, Tzahi Grad