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Le temps qu’il reste [The Time That Remains]

De nos jours, Elia Suleiman prend un taxi pour rejoindre Nazareth. En 1948, alors que beaucoup de ses habitants quittaient la Palestine pour la Jordanie, Fuad, futur père d’Elia, prenait les armes contre l’armée israélienne.

L’événement marque le point de départ de cette autobiographie romancée. Osant user d’un humour épuré et de poésie maussade, le réalisateur-scénariste-acteur démontre la vanité du conflit et l’absurdité d’un antagonisme pérenne. La dérision est reine mais certaines scènes me semblent dérisoires. La discontinuité du récit nuit inévitablement à la cohérence du film qui se résume à une succession de sketchs diversement efficaces. Quelques idées lumineuses ne suffisent à éclairer mes yeux.

De : Elia Suleiman 1h45

Avec (entre autres) : Saleh Bakri, Zuhair Abu Hanna, Leila Muammar, Elia Suleiman

1 commentaire:

  1. "Quelques idees lumineuses ne suffisent a eclairer mes yeux"... superbe mon pote !

    Mc Lovin'

    Polo

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